• Je crois que la vie nous épuise tous les un apres les autres.

    Je ne sais pas qui me guide mais ce n'est pas moi qui écrit ces mots. J'ai peur. j'ai envie de vivre et d'aimer, mais je ne m'en sens plus capable. Peut etre ai-je perdu toute raison d'exister, toute raison de chercher une lueur d'espoir. On se sert de moi, on m'utilise, on me jette. et ça me convient. J'acquiesse sans rouspéter, parce que c'est le seul moyen que j'ai trouver pour être aimer. Je voudrais recommencer à rêver, comme par le passé, mais c'est devenu impossible, c'est devenu redoutablement impossible. J'ai froid. Je veux de nouveau m'envoler vers le bonheur, mais là aussi, les moyens sont restrains. Il n'y a plus que moi, seule et perdu au milieu de se lamentable monde, de cette miserable vie. Pourquoi ecrire cela? Pourquoi cette soudaine inspiration? Pourquoi cette envie de tout balancé, sans même essayé de recommencer. je sais que ces mots vont en blessé quelques uns. Je sais que ces mots me font du mal à moi même. je ne veux pas avoir besoin de quelqun, je ne veux pas voire la mort s'emparé de tout ça, je ne veux pas voire les gens s'effacer de ma vie.

    Caféine et nicotine sont mes seuls alliés et mon unique volonté. Quand j'étais petite, je rêvais du prince charmant, d'un beau chateau, de grandes aventures. Aujourd'hui je reve d'alcool, de sexe et de cigarettes. Mes préoccupations sont de savoir si j'aurais assez de clope pour finir la journée et quand je me ferais à nouveau baiser. Mes envies s'arretent là. En face de chez moi, il y a une école primaire. Je vois les enfants, inssouciant de ce qui les attends, courire, jouer, rire, faire la ronde dans la cours de récréation. j'ai envie de leur dire de partir loin, tout de suite. j'ai envie de les aider. mais pour tout ce à quoi il me font penser, je les hais. J'allume une clope. Est ce qu'ils pensent à moi?

    Pourquoi ai je écrit tout ça? Je ne sais pas. Pourquoi, alors que tout semble aller pour le mieux, je me regarde ainsi dans le miroir?

    Je commence à comprendre pour quoi j'ai aimé Hell. Même si on est tres différentes, on est un peu pareil.

    Si je mets ça sur mon blog, si j'expose mes pensées, mes questions les plus précieuses et les plus intimes au grand jours, qu'est ce que ça fout? Jai plus de café.

    Et si je partais? Non, aucune utilité.

    je voudrais vivre.


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  • "Protect me from What I want"

    Basé sur le livre de Lolita Pille, ce film de Bruno Chiche raconte l'histoire de Ella, dit Hell, une jeune fille des balieux aisée. elle se trimbale de soirée Jet set en soirée de débauche, prend de la coke, bois, fume. Elle a tout ce qu'elle veux au niveau matériel, mais reste infinement seule jusqu'au jour ou elle rencontre Andrea, un jeune homme aussi perdu qu'elle. Il passe tous leurs temps ensemble et ne se quitte plus. Malheureusement, plus ils sont ensemble, plus ils se détruisent par leur amour, par leur jeux, par leur nuits. Et quand ils ne sont plus ensemble, ils en crevent et font tous pour oublier l'autre, quitte à se faire du mal.

    Un film surprenant, tragique, boulversant. Deux acteurs incroyable. j'ai été bluffé par le talent de Sara Forestier (j'ai jamais vu l'Esquive). Avec son partenaire à l'écran, Nicolas Duvauchelle, le tragique laisse place à la poésie de ces deux amants paumés qui ont choisit le chemin le plus court pour l'Enfer. (d'ou le surnom de Hell).

    Dans tous les cas j'ai aimé... Vous l'aurez compris...


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  • Hihihihiiiii!

     c'est fou ce que je suis heureuse!!

    Hier la journée fut parfaite... enfin presque!

    donc je me lève à 6h, pour aller en cours: 2h de français et 2h de sport. Cependant en arrivant au lycée j'apprends que le cours de français n'aura pas lieu... Donc je passe 1h avec Ludilu au CDI, puis 1h avec ma chérie dehors. Ensuite je me rend dans la salle de sport, pour apprendre que le cours est annulé. Je me suis donc levé pour rien!!! Je reste quand même au Lycée et passe les deux heures suivantes avec Jesus (alias Marion). Puis on déjeune et prenont le bus pour dijon. On bois un café, et je la quitte pour retrouver Lucas et Céline au cinéma pour voir Hostel. Malheur! Les horaires ont changer et Hostel passe à 16h et non pas à 14h! Pas grave on va voir Hell (critique à venir) sans Lucas. Puis Céline et moi retrouvons Jesus; on passe 1h30 au Point Chaud à boire du café, manger des croissants et parler cheval, gens et délirages. Puis on requitte Jesus pour nous rendre à la gare, ou on attend Silme et sa mère, qui doivent nous emmener au Zénith.

     Silme, Céline et moi, nous retrouvons dans la file d'attente du concert de CALI!!!

    Et ben ce monsieur ne s'est pas foutu de nous!!! 4h de concert, ou il s'est déchainer comme un méga dingue, pour le plus grand plaisir du public, qui le lui a bien rendu! Je me suis déchainer, éclaté la voix, et j'ai même porté Cali quand il a traversé toute la salle en se faisant porter par le public ( je me laverai plus jamais les mains!!!! yahaaa)

    Bref c'était géantissime! Un Chanteur qu'il ne faut pas louper!

    Puis on rentre, je me couche et dans mon lit, je réfléchit a la journée du lendemain. Petit probleme cependant: Aujourd'hui, jeudi, j'ai cours de 10h à 15h (3h de cours) et Maman, partant pour Naples à l'aube, ne eut pas faire le chauffeur aux heures prévus. Donc j'aurais été obligé de me rendre au lycée de 8h à 17h30... grrrr!

    Je me lève ce matin: aphone crevée et avec une migraine abominable!!! Maman n'avait qu'une demi heure avant son train, mais on a décidé que je me reposerais aujourd'hui... et donc voilà. j'ai un marteau piqueur dans la tête mais elle est remplie de merveilleux souvenirs!!

    PS: J'ai perdu mon portable pendant le concert... Snif!


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  • Si je n'avais pas l'air si prude
    Si le savoir-vivre n'était
    Chez moi une telle habitude
    Si je n'étais pas si secret

    Si avant de parler sept fois
    Ma langue n'allait rotative
    Si je ne comptais pas mes doigts
    Pour éviter toute dérive

    Si chez moi les bonnes manières
    N'étaient pas si envahissantes
    Je les écraserais par terre
    Avec une force ahurissante

    Si je n'accrochais à mes tempes
    Deux impeccables favoris
    Si je n'éteignais pas la lampe
    Lorsque j'ôte mes dessous gris

    Si je ne rougissais pas tant
    Si je frémissais un peu moins
    Si par plaisir de temps en temps
    Je m'accordais un petit joint

    Si ma vie était moins parfaite
    Si j'avais le goût du danger
    Si je savais faire la fête
    Et juste un soir te déranger

    Si j'acceptais de prendre part
    Aux discussions grasses et salaces
    Pour moi aussi avoir ma part
    Du gâteau le plus dégueulasse

    Si j'arrivais de ma campagne
    Avec mes gros sabots merdeux
    Si je me baladais en pagne
    Avec des airs libidineux

    Si je te regardais de haut
    Si je te prenais par derrière
    Si j'atteignais les idéaux
    De ceux qui cassent les barrières

    Si je n'avais plus peur de rien
    Si je ne craignais plus personne
    Je pourrais te dire : allez viens
    Je t'emmène en Sierra Leone

    Avec class et virilité
    Je décrocherais du plafond
    L'abat-jour couleur voie lactée
    Pour te l'offrir

    Mais mon grand malheur c'est qu'avec
    Des si on peut aller très loin
    Sans eux je me retrouve à sec
    Je ne fais rien je ne fais rien
    Je ne fais rien je ne fais rien
    Mais alors rien ce qui s'appelle
    Rien

    JEANNE CHERHAL



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  • 1° véritable article dans ce blog apres l'annonce_Le premier du journal en tout cas!

    L'oral Blanc de français est passé... Bonheur!!! Le stresse à faillit avoir ma peau. Cependant, les bilevesées n'ont pas été citées (private Joke) et la nervosité m'a finalement quitté. J'ai faim. Le menu de la cantine êtant tres peu régoutant, je m'e suis contenté d'un morceau de pain. Je m'en vais chercher à bouffer. A y est!!!

    Demain vais voir CALI en concert! HIHI!!!!!!!! C'est fou! J'suis toute heureuse!

    Bon voilà, c'est finit.


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